Une vieille histoire remonte à la surface alors que l’UdeM est actuellement en procédure judiciaire contre le Syndicat des étudiants salariés et des étudiantes salariées de l’UdeM (SÉSUM), en raison d’événements survenus en 2015.
Près de 25 organisations professionnelles, syndicales et étudiantes se sont retrouvées la fin de semaine dernière pour discuter de l’avenir de l’éducation supérieure au Québec. Plusieurs débats ont ponctué les trois jours de ces premiers États généraux de l’enseignement supérieur (ÉGES) avec comme sujet fondateur l’éducation comme priorité pour tous.
En marge des consultations auprès de l’Assemblée universitaire au sujet de sa politique sur les violences à caractère sexuel, la Coalition des associations et syndicats de l’UdeM (CASUM) a publié une lettre ouverte invitant l’Université à redoubler d’efforts dans sa lutte au harcèlement.
Le 8 février dernier, le magazine économique Forbes publiait son classement annuel des meilleurs employeurs canadiens développé avec la firme allemande Statista. À la suite de la consultation de 8 000 personnes travaillant dans des entreprises ou institutions comptant plus de 500 employés, l’UdeM se situe en 21e place. Cette position reflète-t-elle la réalité des étudiants employés par l’UdeM ?
La série de consultations prébudgétaires du ministre des Finances Carlos Leitão a été suspendue pour une durée indéterminée alors que son passage prévu à HEC Montréal le 13 février dernier a été annulé. Les différentes associations étudiantes de l’UdeM ont tout de même profité de l’occasion pour revendiquer un réinvestissement dans les universités.
Lancé en décembre afin d’être soumis au gouvernement provincial lors de la rentrée parlementaire le 7 février, le projet de réforme de la charte de l’UdeM est loin de faire l’unanimité. Plusieurs actions ont été entreprises par les membres de la communauté universitaire pour marquer leur désaccord avec cet exercice.
Actuellement en négociation de sa convention collective, le syndicat des étudiants salariés de l’UdeM (SÉSUM) a voté, lors de sa dernière assemblée générale, pour une journée de grève le mercredi 19 octobre.
Alors que le Syndicat des chargées et chargés de cours de l’UdeM (SCCCUM) est en processus de négociation pour renouveler sa convention collective, certains étudiants estiment que les clauses d’embauche actuelles leur sont défavorables.
Le Syndicat des étudiant-es salarié-es de l’Université de Montréal (SÉSUM) se lance dans la nouvelle année. À la suite d’un camp de mobilisation intersyndicale, qui a eu lieu du 2 au 4 septembre, le syndicat met la table pour une période de grands changements.
La précipitation et le flou entourant la « transformation institutionnelle » de l’UdeM est dénoncée par le Syndicat des étudiants et étudiantes salariées de l’UdeM (SÉSUM). Celui-ci invite le recteur Guy Breton à revoir le calendrier fixé et demande à ce que l’Assemblée universitaire soit impliquée directement dans le processus de consultation.
Les syndicats d’étudiants salariés ont mené une action de perturbation devant le ministère de l’Éducation à Montréal, mercredi 24 février. Ils demandent au gouvernement de Philippe Couillard d’investir davantage dans l’éducation supérieure.