sécurité

Des orientations ministérielles émises par le gouvernement du Québec* incitent les universités à élargir les zones sans fumée de leur campus. Tour d’horizon des mesures implantées par les universités.
Le service de raccompagnement Poly Retour offre aux étudiants de Polytechnique la possibilité d’être reconduits à la maison après un événement festif. Son lancement a eu lieu le 19 janvier dernier.
En avril dernier, un individu s’est introduit dans le local d’une association étudiante au pavillon LionelGroulx, où il a commis une agression sur une exécutante effectuant sa permanence. Des précautions ont été suggérées afin d’empêcher qu’un acte semblable ne se reproduise.
À quel moment un cas isolé n’en est plus un ?
Une série d’entrées par infraction dans des locaux du pavillon Marie-Victorin le 11 février dernier a mené à une augmentation des effectifs de la sécurité pour les prochains jours.
Dans la dernière année, les université Concordia et d’Alberta ont été la cible de cyberattaques qui ont mis à mal la sécurité des informations personnelles des étudiants et enseignants. Sans céder à la panique, tous s’entendent sur la nécessité de sensibiliser les étudiants à la cyberprotection.
Tandis qu’un étudiant de l’Université de l’Alberta fait face à des accusations en lien avec une cyberattaque sur son alma mater en novembre dernier, des interrogations émergent à propos de l’UdeM et de son système de protection informatique, celui-ci étant jugé trop basique par des experts.
Alors que la cybercriminalité envahit Internet, le Centre international de criminologie comparée (CICC) de l’UdeM a organisé le colloque Cybercriminalité : mythe ou réalité ? le 2 février dernier. Questionnements sur l’importance de la cybercriminalité au sein de la criminologie.
Si l’UdeM est fermée pendant la période des Fêtes, cela ne signifie pas qu’aucune âme n’y vive. Certaines recherches scientifiques se poursuivent et plusieurs organismes vivants doivent être entretenus.
La sensibilisation est le mot d’ordre de l’UdeM pour favoriser la sécurité sur le campus. En plus de renouveler sa campagne de prévention des vols au CEPSUM au mois d’octobre, l’Université a également mis en place, à la rentrée d’automne, de nouvelles stratégies pour diminuer ces délits tout au long de l’année.
Une étude conjointe du gouvernement et des universités québécoises affirme que 64 % des bâtiments de l’UdeM sont à un niveau élevé ou très élevé de vétusté. Si la situation paraît urgente pour la Direction des immeubles de l’UdeM, qui estime le déficit d’entretien des bâtiments de l’ensemble des campus de l’Université à 340 M$, ses effets sont ressentis à