L’UdeM, qui possède six ruches, aromatise de miel quelques dizaines de barils de bière « ultralocale ». Or, en milieu urbain, l’élevage accru d’abeilles à miel, une espèce exotique, menace les pollinisateurs indigènes en accaparant les ressources nourricières, selon des expert·e·s. Compte tenu des faibles rendements, la mise de l’avant de « l’UdeMiel » relève-t-elle d’une forme d’écoblanchiment ?