réseaux sociaux

L’étudiante à la maîtrise en cinéma Eva Breysse a récemment réalisé le documentaire Le Nid qui prend pour thème les faucons de l’UdeM. À travers leur histoire et celle racontée par l’informaticienne Ève Bélisle, qui a permis d’augmenter leur popularité
Les universitaires sont les experts en lesquels le public a le plus confiance, selon le sondage annuel de l’agence de relations publiques Edelman1. C’est la liberté universitaire, inscrite dans la charte de l’UdeM, qui permet à tout professeur d’être entièrement libre de prendre la parole et de participer aux débats publics. Quartier Libre a rencontré deux d’entre eux, qui s’illustrent
En mars 2018, l’exploitation des données de 86 millions de profils Facebook par l’entreprise Cambridge Analytica a laissé apparaître les failles du réseau social aux yeux de ses 2 milliards d’utilisateurs. Ce scandale a-t-il changé les habitudes des étudiants de l’UdeM ?
Unia est un réseau multiservice qui assure un service auprès de 5 000 étudiants universitaires au Québec, dont 1 500 de l’UdeM. Quartier Libre s’est entretenu avec le cofondateur de ce réseau né à l’automne, Jeremy Gouverneur.
Les réseaux sociaux permettent au monde universitaire de se rassembler pour trouver des réponses aux questions de chacun. Des groupes d’entraide sont mis en place pour les étudiants. Plusieurs raisons poussent certains d’entre eux à privilégier cette façon de s’informer.
L’UdeM a lancé le 26 septembre dernier la campagne Réflexes numériques. Cette initiative vise à sensibiliser la communauté universitaire à un usage éthique et responsable des médias sociaux.

L’initiative Jack.org souhaite venir en aide aux jeunes ayant des problèmes de santé mentale en privilégiant l’échange de pair à pair et surtout, l’apprentissage de l’écoute active. Mais depuis quand doit-on apprendre à écouter de manière bienveillante ? À quel moment est-ce devenu un effort de faire preuve d’intérêt, de respect et d’acceptation face à […]

Les initiatives intellectuelles se multiplient sur Twitter. Elle devient l’outil pédagogique de certains professeurs, à l’instar d’un débat philosophique lancé sur la plateforme en collaboration avec l’UdeM.
Engagés par des compagnies pour inciter les gens à acheter leurs produits, les influenceurs utilisent leurs comptes sur les réseaux sociaux comme des vitrines publicitaires. Jeunes et dynamiques, ils ont converti ces réseaux en outil de placement de produit. Quartier Libre a rencontré un étudiant qui s’est lancé dans ce marché lucratif.
En collaboration avec l’Université de Calgary, la compagnie de télécommunications canadienne Telus a lancé, il y a quelques semaines, un programme pour sensibiliser les étudiants à l’importance de l’image et de la réputation en ligne. Quartier Libre s’est intéressé aux impacts des médias sociaux sur la vie professionnelle ou privée des étudiants.
Le 20 novembre prochain se tiendra à l’UdeM le 1er colloque sur l’utilisation des réseaux sociaux en enseignement afin d’en présenter les avantages et les enjeux. Leur utilisation pédagogique commence à se démocratiser sur le campus, alors que certains professeurs les utilisent déjà dans leurs cours.