Dans un contexte plurilingue comme celui du Québec, de plus en plus d’étudiants célèbrent l’anglais, parfois au détriment de leur propre langue. C’est d’ailleurs le cas à HEC où l’anglais est très présent, au grand dam de certains étudiants francophones. La langue de Molière serait-elle en perte de vitesse au profit du multilinguisme ?