Portes ouvertes sur le cancer

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Par Frédérick Carignan
mercredi 31 janvier 2018
Portes ouvertes sur le cancer
La doctorante en biologie moléculaire à l’Institut de recherches cliniques de Montréal Carine Monat-Reliat a gagné le concours Ma thèse en 180 secondes en 2016 (Photo: Benjamin Parinaud)
La doctorante en biologie moléculaire à l’Institut de recherches cliniques de Montréal Carine Monat-Reliat a gagné le concours Ma thèse en 180 secondes en 2016 (Photo: Benjamin Parinaud)
L’événement de vulgarisation scientifique Dans les coulisses de la recherche contre le cancer a été organisé le 25 janvier par l’Association étudiante de l’Institut de recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC), permettant au public présent de discuter de la maladie.

« On veut parler du projet des étudiants de l’IRIC avec des mots simples et avec le grand public », affirme le membre du comité organisateur et étudiant au doctorat en biologie moléculaire Thomas Milan. L’événement a été ouvert au plus grand nombre dans le but de répondre aux questions du public au sujet de la recherche sur le cancer et sur la maladie en général.

« Ça nous est venu, parce que vulgariser pour des gens qui ne sont pas en science n’est pas quelque chose que l’on est souvent appelé à faire pendant notre formation, ajoute l’une des membres du comité organisateur et étudiante au doctorat en biochimie Myreille Larouche. C’est à nous d’aller au-devant du public. » Cet événement est donc le moyen idéal de s’initier à la vulgarisation scientifique, selon ces étudiants aux études supérieures.

L’événement a été présenté sous forme d’ateliers interactifs et de conférences de chercheurs et d’étudiants de l’IRIC, qui ont expliqué ce qu’est le cancer et comment il se propage. La gagnante du concours Ma thèse en 180 secondes, Carine Monat-Reliat, a également eu l’occasion de se présenter aux conférenciers pour leur prodiguer des conseils.

Dans les coulisses de la recherche a été animé par le journaliste scientifique et animateur de l’émission de radio Les années lumière à Radio-Canada, Yanick Villedieu. Des tables rondes en petits groupes ont aussi été offertes pour que le public puisse poser des questions aux étudiants et aux chercheurs.