Trois sorties gratuites pour la fin de semaine du 7 décembre
Radio d’artiste
La Maison de la culture Frontenac accueille la dernière exposition de Louise Mercure, une exploration visuelle et médicale de l’identité de l’artiste.
Taches et repentirs – Chronique picturale présente des représentations symboliques de la définition d’une identité. Avec une approche intimiste, l’artiste invite à interpréter des messages venus du corps à partir d’images provenant de résonances magnétiques, de scans ou de radiographies.
En traduisant visuellement ses pensées et ses émotions, Louis Mercure profite de tout le potentiel artistique de l’imagerie médicale, biologique et anatomique. « L’esthétique oscille entre l’évocation de la vulnérabilité humaine et la célébration du pouvoir poétique des formes, des couleurs et de la matière », précise-t-elle. L’exposition, composée de tableaux et d’œuvres sur bois et papier, souligne l’intérêt de l’artiste pour la vie organique.
Taches et repentirs – Chronique picturale
Du 25 octobre 2018 au 6 janvier 2019
Maison de la culture Frontenac
2550, rue Ontario Est
Cartes postales
Dans l’exposition En route pour la gloire, François Escalmel s’interroge sur les notions d’être, de perception et d’identité autour du thème du voyage.
L’artiste présente ses œuvres les plus récentes, résultat de ses six dernières années de travail, dans une installation multidisciplinaire. Il propose de réinventer la notion de paysage à l’aide de trois séries artistiques de peintures, de dessins sur toile ou même de sculptures.
Les techniques de création et les thèmes parcourus s’y répondent à travers la métaphore du voyage. On pourra y retrouver un ensemble de décors et d’horizons variés qui caractérisent la perception de l’artiste.
En route pour la gloire
Du 25 octobre 2018 au 6 janvier 2019
Maison de la culture Frontenac
2550, rue Ontario Est
Quête artistique
Eddy Firmin expose sa quête identitaire avec Ego portrait ou l’errance des oiseaux, une proposition multiplateforme de réflexions sur des enjeux identitaires qui animent l’artiste.
D’origine guadeloupéenne, l’auteur matérialise ses interrogations grâce au dessin, à la sculpture, à la vidéo et même à des performances vivantes. Sa pratique artistique interroge le concept de liberté en réinterprétant le gwoka, une musique de résistance inventée par les esclaves.
Doctorant à l’UQAM, il aborde avec humour et autodérision les pratiques de la société de consommation, en faisant écho à la quête identitaire qu’il mène depuis son arrivée au Québec.
Ego portrait ou l’errance des oiseaux
Du 1er novembre au 16 décembre
Maison de la culture Marie-Uguay
6052, boulevard Monk