suicide

Afin de venir en aide aux étudiants en détresse psychologique, l’UdeM a mis en place un réseau de sentinelles. Membres du personnel de l’Université, les sentinelles pourront prendre en charge les étudiants qui en ont besoin et les aiguiller vers
L’Université Laval (UL) a annoncé qu’elle fera plus d’efforts pour prévenir les risques de suicides chez ses étudiants. Cette annonce intervient en réaction aux recommandations faites la semaine dernière par le Bureau du coroner à la suite d’un suicide survenu il y a près de trois ans.
Chaque année à Toronto, plus de 200 étudiants canadiens se réunissent sous la bannière « Jack » afin de discuter d’initiatives visant à améliorer la perception des troubles de santé mentale. Pour la première fois cette année, l’UdeM était de la partie et la seule institution francophone à participer au mouvement.
Année après année, l’UdeM propose une série d’ateliers dans le cadre de la Semaine nationale de la prévention du suicide qui se tiendra du 29 janvier au 4 février prochains. Bien que le nombre de cas soit en diminution au Québec, le travail de sensibilisation auprès de la communauté demeure important pour les intervenants.
Selon l’enquête « Ça va ? »*, 22 % des étudiants souffriraient de symptômes dépressifs et 7,8 % auraient sérieusement envisagé de s’enlever la vie. Si les résultats de l’étude sont trop récents pour mener à un plan d’action, certaines pistes de solution sont sur la table.
Dans le cadre de la semaine nationale de prévention du suicide, 23 étudiants bénévoles du programme Écoute-Référence vont animer des kiosques dans les différents pavillons de l’UdeM, du 1er au 5 février. Leur objectif est de sensibiliser la communauté universitaire aux problématiques liées au suicide et de leur indiquer les ressources auxquelles ils ont accès sur le campus ou en
Le mois dernier, Émilie Marchand, une étudiante de l’UdeM, s’est suicidée alors qu’elle était résidente au Centre hospitalier de l’UdeM (CHUM). Les débats dans la sphère médiatique québécoise ont aussitôt rappelé à la société le stress que subissent les étudiants en médecine. Comment éviter de broyer du noir dans un des programmes les plus exigeants du cursus universitaire québécois?