Quartier Libre : Quels buts vous êtes-vous fixés lors de votre plus récente mission en Chine ?
Guy Lefebvre : « J’avais plusieurs objectifs en allant en Chine. J’ai notamment échangé par rapport au fait que l’Université lancera un programme de francisation pour les étudiants internationaux l’été prochain. Il visera d’abord les étudiants des cycles supérieurs ayant besoin de parfaire leur français pour être admis dans des programmes de maîtrise à l’UdeM. Puis, l’an prochain, nous offrirons quatre programmes distincts de francisation pour permettre aux étudiants étrangers maîtrisant peu le français d’acquérir les bases de la langue et de poursuivre ensuite leurs études de premier ou deuxième cycle à l’UdeM.
Aussi, je suis allé à l’Université de Wuhan, classée numéro un en Chine pour ses activités en français. Une entente de principe avec l’établissement a été signée, ce qui pourrait mener à un partenariat formel, semblable à celui établi entre la Faculté de droit de l’UdeM et le Collège national des juges de la Cour suprême de Chine. »