UEQ : Cotiser dès la rentrée

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Par Camille Feireisen
mercredi 13 janvier 2016
UEQ : Cotiser dès la rentrée
Depuis la rentrée d’hiver, les étudiants de l’UdeM paient une cotisation de 4,50 $ par session pour financer l’Union étudiante du Québec (UEQ), à laquelle s’est affiliée la FAÉCUM à la fin novembre. Bien qu’elle ne soit lancée officiellement qu’en mai, l’UEQ compte sur ces cotisations anticipées pour payer ses frais de fonctionnement.
Depuis la rentrée d’hiver, les étudiants de l’UdeM paient une cotisation de 4,50 $ par session pour financer l’Union étudiante du Québec (UEQ), à laquelle s’est affiliée la FAÉCUM à la fin novembre. Bien qu’elle ne soit lancée officiellement qu’en mai, l’UEQ compte sur ces cotisations anticipées pour payer ses frais de fonctionnement.
Depuis la rentrée d’hiver, les étudiants de l’UdeM paient une cotisation de 4,50 $ par session pour financer l’Union étudiante du Québec (UEQ), à laquelle s’est affiliée la FAÉCUM à la fin novembre. Bien qu’elle ne soit lancée officiellement qu’en mai, l’UEQ compte sur ces cotisations anticipées pour payer ses frais de fonctionnement.

« La décision de faire payer la cotisation dès janvier revient aux associations », précise le coordonnateur aux affaires externes du Projet pour le mouvement étudiant, dont découle l’UEQ, Guillaume Girard. Les associations universitaires disposent également de leur propre délai pour inclure ou non de nouvelles cotisations dans leur budget.

En payant dès la session d’hiver, plusieurs associations s’assurent aussi que l’UEQ sera opérationnelle dès le 1er mai, date à laquelle le comité élu entrera en poste. « Sans ces cotisations, au moment où il y aura un exécutif, il n’y aura pas d’argent, souligne M. Girard. Les sessions d’été commencent en mai, et les universités ne versent pas leurs cotisations aux associations au moment même où commence la session, il y a un délai. »

Au-delà de la structure, M. Girard souligne aussi les frais de fonctionnement tels que la location de locaux. « C’est le même fonctionnement pour toutes les associations, basé sur une cotisation fixe, indique-t-il. Sans elle, on a un problème majeur, car on ne peut pas planifier les choses selon le bon vouloir des associations de payer. » D’après M. Girard, ce fonctionnement devrait notamment assurer une autonomie à l’UEQ et lui éviter de trop grandes variations de revenus.