SEEUM

En litige avec le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) depuis plusieurs mois, l’UdeM a adressé une mise en demeure à ce dernier pour publicité mensongère à son encontre. L’établissement pourrait réclamer jusqu’à 500 000 $.
Le Tribunal administratif du travail a rendu une décision qui ordonne à l’UdeM de cesser d’utiliser les services de sous-traitants pour accomplir les fonctions des employés d’entretien en grève depuis la mi-mars. La cour ne donne qu’en partie raison au Syndicat des employés d’entretien de l’UdeM (SEEUM), qui a déposé une nouvelle plainte.
En grève depuis le 14 mars dernier, les techniciens en mécanique du bâtiment et les mécaniciens en machines fixes de l’UdeM accusent leur employeur d’utiliser des « briseurs de grève », une accusation que l’Université dément. Une enquête du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale est en cours.