Papier bristol, crayons gras, peinture rouge sur corps, l’étendard aux fleurs de lys, quelques paillettes, ce bon vieux carré de feutre cramoisi, cinq ou six expirations pour gonfler des ballons, et des cordes vocales prêtes à vibrer. L’attirail est prêt. Oh, sans oublier mon chandail de loup ! Parce qu’il me rend fou ? Plutôt parce que malgré les apparences,