Volume 19

Pourquoi lire Quartier Libre ?

La particularité du journal que vous tenez entre les mains, c’est qu’à partir d’un sujet donné, notre équipe vient chercher votre avis, celui de vos camarades de classe, celui de vos professeurs et des personnes qui travaillent dans les coulisses de l’Université.

Le cœur de ce journal, c’est l’expérience de la vie étudiante udemienne. Cette vie étudiante mérite d’être rapportée : du congrès de la Fédération étudiante qui termine passé minuit, aux files d’étudiants qui attendent pour s’acheter un café, en passant par les nuits d’étude à la bibliothèque.

Quartier Libre est votre journal de proximité. C’est son premier mandat.

Nous nous efforçons de traiter l’information, de la vulgariser.

Souvent critiques, parfois mordants, nous ne sommes pas cyniques. Les pigistes de Quartier Libre recueillent les réactions des acteurs de l’Université. Avec l’aide de l’équipe de rédaction, ils les couchent sur papier. Ils vous informent sur les enjeux qui vous concernent afin que vous puissiez vous forger une opinion éclairée. Car vous êtes partie prenante de cette communauté.

Ce journal est pour ceux qui aiment l’Université de Montréal. Mais dans une relation amoureuse, il faut se le dire quand ça va bien et quand rien ne va. Quand ça va mal, il faut en discuter, analyser la situation, proposer des solutions. Pour se dire les vraies choses, Quartier Libre est un journal indépendant.

Nous voulons ancrer dans la réalité étudiante des situations qui parfois semblent bien éloignées. C’est pourquoi nous analysons aussi le monde extérieur à l’Université, mais toujours avec un regard d’étudiant.

En tant que nouveau rédacteur en chef du journal, je vous invite à nous écrire, à venir nous voir, à vous impliquer, et, encore mieux, à intégrer notre équipe.

Quartier Libre est votre journal.

N’attendez pas qu’on vous donne la parole.

Prenez-la.

***

Pensons maintenant à ce qui marquera ce début d’année.

L’enjeu de l’hiver est la lutte étudiante contre la hausse des frais de scolarité de 1625 $ sur cinq ans décrétée par le gouvernement provincial. La Fédération des associations étudiantes du campus de l’UdeM a maintes fois montré son indignation cet automne concernant cette hausse. La direction de l’Université appuie la hausse. Le gouvernement ne semble pas vouloir revenir sur sa position. La suite s’annonce mouvementée.

Ce débat s’inscrit dans un contexte où trois fois plus d’étudiants fréquentent les banques alimentaires qu’il y a trois ans. Découvrez cette réalité vécue au quotidien par des étudiants de l’UdeM ici.

De la part de toute l’équipe de Quartier Libre, nous vous souhaitons une bonne session d’hiver.

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