Campus

(Photo: Benjamin Parinaud)

Photoreportage – Jardiniers urbains

La formation totalisant 40 heures de cours s’est échelonnée sur huit dimanches. On demandait également aux étudiants de se présenter deux fois par mois à des séances de jardinage collectif qui ont eu lieu les mercredis et les dimanches.

« Autour de moi et, je crois, dans la société en général, il y a un désir de réappropriation de son alimentation pour qu’elle soit plus locale, plus bio et à plus petite échelle », explique la coordinatrice de l’université d’été en agriculture urbaine, Sara Maranda-Gauvin. Selon elle, cette formation répond à un besoin en agriculture urbaine, notamment durant la saison estivale, période pendant laquelle aucun cours n’était auparavant offert en français.

L’idée de proposer un deuxième volet, qui permettrait d’offrir des cours plus avancés et une autre année de pratique, est actuellement à l’étude. « Il serait peut-être envisageable d’avoir une ruche, confie-t-elle. Les idées abondent, mais rien n’est encore décidé. » L’organisation des séances d’arrosage sera cependant à revoir lors des prochaines éditions. « On a eu de la chance puisque l’été a été très pluvieux, mais il faudrait qu’il y ait un engagement plus important de la part des apprentis jardiniers à ce niveau », confie-t-elle.

Partager cet article