FAQ
Foire aux questions
Voici les réponses à beaucoup de questions qu’on peut se poser sur Quartier Libre. Si tu en as d’autres, n’hésite pas à nous contacter.
Depuis quand Quartier Libre existe-t-il ?
Le journal a été fondé en 1993. Pour en savoir plus, tu peux lire l’article sur son histoire rédigé à l’occasion de son trentième anniversaire.
L’Université de Montréal et la Fédération des associations étudiantes de l’Université de Montréal (FAECUM) ont-elles un droit de regard sur ce que Quartier Libre publie ?
Non. Quartier Libre est un média totalement indépendant.
Pourquoi le magazine Quartier Libre comporte-t-il des pages dédiées à la FAECUM dans chaque numéro s’il en est totalement indépendant ?
Chaque numéro du magazine Quartier Libre comporte une page réservée aux communications de la FAECUM, en vertu d’un accord passé avec la fédération lors de la création du journal, en 1993. La rédaction de Quartier Libre n’intervient jamais sur le contenu de cette page, et la FAECUM n’en tire pas un droit de regard sur le contenu du journal.
Qui dirige Quartier Libre ?
En tant qu’organisme à but non lucratif (OBNL), Quartier Libre est dirigé par un conseil d’administration composé de membres de l’équipe du journal, d’un·e journaliste professionnel·le, de représentant·e·s de la FAECUM et de l’AGEEFEP et de membres de la communauté étudiante de l’Université de Montréal. Les décisions quant à son fonctionnement sont votées lors d’assemblées générales ouvertes à l’ensemble des étudiant·e·s de l’Université de Montréal. Il est possible d’en consulter les procès-verbaux ici.
Quartier Libre est-il payé pour publier des articles sur certains sujets ?
Comme pour grand nombre de médias, il arrive à Quartier Libre de conclure des partenariats rémunérés pour la publication d’articles. Le journal est très soucieux du respect des normes de déontologie journalistique édictées par le Conseil de presse du Québec. En ce sens, les partenariats obéissent à plusieurs critères très stricts : ils sont clairement indiqués dès le début de l’article, et doivent correspondre à la ligne éditoriale et aux valeurs de Quartier Libre. Ces articles sont rédigés par nos soins et avec les mêmes exigences de qualité et de fiabilité de l’ensemble des contenus produits par Quartier Libre.
Comment Quartier Libre est-il financé ?
Quartier Libre est en grande partie financé par les cotisations étudiantes. À celles-ci s’ajoutent quelques revenus tirés de partenariats rémunérés, et de la vente de publicités.
À quoi sert l’argent des cotisations dédiées à Quartier Libre ?
Quartier Libre étant un OBNL, il n’a pas pour objectif de faire de bénéfices financiers. L’argent des cotisations sert à payer les membres de la rédaction (la direction générale, et les trois responsables de section), les pigistes, ainsi que tous les coûts nécessaires à son fonctionnement, comme l’impression du magazine papier, ou l’hébergement du site Internet.
Comment contribuer à Quartier Libre ?
Toutes les réponses à cette question se trouvent sur cette page.
Pourquoi Quartier Libre porte-t-il ce nom ?
Comme on peut le lire dans l’article publié pour ses trente ans, « au moment de baptiser le journal, le journaliste et chroniqueur au Devoir Jean- François Nadeau, alors étudiant au doctorat en science politique et chef de la section société, a trouvé naturel de marquer une continuité avec la tradition du journalisme étudiant. “ J’ai pensé à Quartier Libre, qui rappelait le Quartier Latin [NDLR : le journal étudiant de l’Université de Montréal entre 1919 et 1970], mais qui est aussi un poème de Jacques Prévert “, explique celui qui a été le troisième directeur du journal. Pour l’anecdote, “ L’ombre jaune “, un nom qui relevait davantage du flou artistique que des racines du journalisme étudiant, a failli être choisi. »
Pourquoi Quartier Libre utilise-t-il l’écriture inclusive ?
Dans un souci d’inclusivité, Quartier Libre a choisi d’adopter l’usage du point médian « · » depuis février 2022. Le choix de la rédaction s’est porté sur cette forme d’écriture inclusive, car elle lui apparaît être celle qui correspond le mieux à ses contraintes de style, et de format (notamment en ce qui concerne les articles imprimés dans le magazine). L’équipe est toutefois consciente des difficultés de lecture que cette pratique peut engendrer, et veille à recourir à des formes épicènes dès que cela est possible.