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(Crédit Photo: Coraline Mathon)

4 questions à Vincent Fournier Gosselin

Le mandat d’un poste au Bureau exécutif (BE) de la Fédération des associations étudiantes du campus de l’UdeM (FAÉCUM) dure un an. C’est lors du Congrès annuel de la fédération étudiante que les nouveaux officiers sont élus par les associations étudiantes présentes. Quartier Libre questionne les onze candidats avant les élections du 23 mars.

Vincent Fournier Gosselin – Candidat au poste de secrétaire général

Quartier Libre : Pourquoi vouloir faire partie du BE de la FAÉCUM?

Vincent Fournier Gosselin : Je fais déjà parti du BE cette année et c’est une expérience que j’ai beaucoup aimée. J’ai beaucoup appris cette année et j’aime l’implication étudiante, j’ai envie de continuer dans cette voie-là. J’ai envie de partager ma vision du mouvement étudiant et je veux servir les associations étudiantes de l’UdeM.

Q.L. : Quelle est ton expérience dans le milieu associatif?

V.F.G. : Ça débute aussi loin qu’au secondaire. J’ai fondé le conseil étudiant de mon école à Vaudreuil et j’étais dans la radio étudiante. Au cégep je me suis moins impliqué parce que j’étais au cégep de Saint-Laurent et c’était un lieu moins propice à l’implication. À l’UdeM, j’ai d’abord été externe junior, ensuite externe et vice-président de l’association en science politique et études internationales. Je suis présentement coordonnateur aux affaires externes de la FAÉCUM.

Q.L. : Quelle est ta vision du poste de secrétaire général?

V.F.G : C’est d’abord le porte-parole des étudiants de l’UdeM et c’est quelqu’un qui doit coordonner l’équipe du BE. Il faut s’assurer que tout le monde a les moyens et les outils nécessaires pour remplir ses mandats. Son rôle est de maintenir une bonne cohésion et d’avoir une vision d’ensemble.

Q.L. : Selon toi, quel est le plus gros enjeu pour la FAÉCUM l’an prochain?

V.F.G : Je veux poursuivre dans la continuité de l’année dernière et institutionnaliser nos représentations politiques avec le gouvernement. La FAÉCUM est à un stade où nous sommes capables de faire de la représentation par nous-mêmes. L’idée est d’avoir les moyens de régler nos dossiers au ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie, par exemple quand l’Université perçoit trop de frais institutionnels obligatoires. Il y a aussi la question du droit de grève étudiant qu’il va falloir régler.  

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