Le mandat d’un poste au Bureau exécutif (BE) de la Fédération des associations étudiantes du campus de l’UdeM (FAÉCUM) dure un an. C’est lors du Congrès annuel de la Fédération que les nouveaux officiers sont élus par les associations étudiantes présentes. Quartier Libre questionne les onze candidats avant les élections du 23 mars.
Nicolas Bérubé – Coordonnateur à la recherche universitaire
Quartier Libre : Pourquoi vouloir faire partie du BE de la FAÉCUM?
Nicolas Bérubé : C’est pendant mon doctorat que j’ai développé des compétences et la raison principale de ma candidature c’est vraiment de les mettre aux services des autres. La FAÉCUM c’était le meilleur endroit pour le faire puisque je me mettrai aux services de la communauté étudiante dans laquelle je suis depuis huit ans maintenant donc c’est un peu comme ma famille.
Q.L. : Quelle est ton expérience dans le milieu associatif?
N.B. : J’ai été membre de l’exécutif de l’association de physique en tant que vice-président et aux affaires externes des cycles supérieurs. Je suis maintenant membre du conseil d’administration de la FAÉCUM. Sinon j’ai aidé à l’organisation d’évènements en faisant du bénévolat pour la FAÉCUM.
Q.L. : Quelle est ta vision du poste de coordonnateur à la recherche universitaire?
N.B. : Mon poste est un poste de représentation, pour le moment je suis concentrée à étudier les dossiers et les enjeux. Par rapport à l’an passé, nous avons de nouveaux enjeux comme le libre accès. Sinon faire en sorte que les gens sachent ce que c’est qu’un coordonnateur à la recherche universitaire puisque c’est le poste le moins connu du BE de la FAÉCUM.
Q.L. : Selon toi, quel est le plus gros enjeu pour la FAÉCUM l’an prochain?
N.B. : J’hésiterai entre le plan de développement et la communication. La communication avec les étudiants a toujours été un enjeu avec la FAÉCUM, faire en sorte que les gens sachent ce qu’est la FAÉCUM. Quand je dis que je me présente à la FAÉCUM, certains ne savent pas encore ce que c’est. Sinon le plan développement c’est important que les étudiants comprennent les directions que va prendre la FAÉCUM dans les prochaines années.
