Le mandat d’un poste au Bureau exécutif (BE) de la Fédération des associations étudiantes du campus de l’UdeM (FAÉCUM) dure un an. C’est lors du Congrès annuel de la Fédération que les nouveaux officiers sont élus par les associations étudiantes présentes. Quartier Libre questionne les onze candidats avant les élections du 23 mars.
Jolianne Bolduc – Coordonnatrice aux finances et services
Quartier Libre : Pourquoi vouloir faire partie du BE de la FAÉCUM?
Jolianne Bolduc : Pour pouvoir aider les étudiants et rendre leur passage à l’université encore plus beau. J’ai étudié à l’UQTR avant l’UdeM et las bas je ne trouvais pas d’équivalent de la FAÉCUM pour regrouper toutes les associations étudiantes. Donc je trouvais ça super qu’il y ai cela à l’UdeM et je trouvais ça bien de m’impliquer pour inclure les étudiants et faire en sorte que leur passage à l’UdeM soit le fun.
Q.L. : Quelle est ton expérience dans le milieu associatif?
J.B. : C’est ma deuxième année dans l’exécutif de l’association en sciences infirmières de l’UdeM. J’ai commencé en tant que trésorière et cette année je suis présidente. Sinon plus dans le passée j’étais dans les associations étudiantes au secondaire.
Q.L. : Quelle est ta vision du poste de coordonnatrice aux finances et services?
J.B. : Je dois m’assurer d’être là pour que le budget soit bien respecté et que nous mettons l’argent aux bonnes places. Ce poste c’est aussi maximiser les services que nous avons et essayer d’en créer des nouveaux selon les besoins des associations étudiantes. Mais je dois m’assurer que tous les services soit bien connus de tous puisque si je prends mon association de sciences infirmière, les services de la FAÉCUM ne sont pas connus.
Q.L. : Selon toi, quel est le plus gros enjeu pour la FAÉCUM l’an prochain?
J.B. : Un des volets de la FAÉCUM dans leur plan de développement c’est de bien exposer les services qu’offre la fédération. Il va donc falloir commencer à bien implanter les services par exemple la halte-garderie qui va prendre un gros morceau de la FAÉCUM l’an prochain.
