Le débat des chefs a-t-il influencé votre choix de vote ?
«Pas vraiment, je trouve que c’est un peu cacophonique.»
– Laurence Lussier, étudiante en deuxième année au baccalauréat en enseignement du français au secondaire
«Oui. Quelques chefs de parti, avec leur arrogance, ont fait en sorte que je n’ai pas voté pour eux (NDLR : par anticipation). J’aurais peut-être voté pour eux en me basant sur leurs promesses, mais il y a certaines façons de s’exprimer en public. Ça a donc influencé mon choix.»
– Mia Thibeault, étudiante en troisième année au baccalauréat en sécurité et études policières
«Oui, un peu. Je savais déjà un peu pour qui voter, mais ça m’a un peu influencé. Le résultat de ma circonscription est joué d’avance, mais si jamais je déménage, je découvre d’autres options.»
– Julien Jonell, étudiant en deuxième année au baccalauréat en géographie environnementale
Les pancartes électorales ont-elles influencé votre choix ?
«Non, absolument pas.»
– Frédérique Bouchard, étudiante en première année au doctorat en psychologie
«Pas du tout, c’est un gaspillage d’argent.?»
– Sarah Kelly, étudiante en troisième année au baccalauréat en sécurité et études policières
«Non, mais ça a pu me rappeler que certains partis existaient.»
– Un étudiant en première année au baccalauréat en droit, qui a préféré taire son nom
Pourquoi est-ce selon vous important de voter ?
«On va bientôt entrer sur le marché du travail et c’est important que la personne qui nous dirige représente nos valeurs et ce qu’on recherche.»
– Maélie Carrière, étudiante en troisième année au baccalauréat en sécurité et études policières
«Je ne me souviens pas de qui avait dit ça, mais si tu ne t’occupes pas de la politique, la politique s’occupera de toi!» (NDLR : Michel Chartrand; tiré d’un communiqué de presse du groupe Les entartistes, Montréal, 1999)
– Ce même étudiant en première année au baccalauréat en droit qui a préféré taire son nom
«C’est notre devoir de citoyen. Si on n’a pas voté, on ne peut pas chialer.»
– Sarah Kelly, Mia Thibeault, étudiantes en troisième année au baccalauréat en sécurité et études policières
