« C’est l’expert, sur le Bureau exécutif, en matière de recherche, synthétise le secrétaire général, Matis Allali, que ce soit pour la promotion, la vulgarisation ou les activités autour de la recherche. » Le coordonnateur doit également agir comme représentant auprès des différents paliers de gouvernement, ajoute Matis.
Il n’y a pas de profil en particulier recherché par la FAÉCUM, indique le secrétaire général. Il faudra simplement une personne motivée par le domaine de la recherche. « Il n’est pas nécessaire d’être au cycle supérieur pour se présenter », souligne-t-il.
Matis explique que le poste est vacant après le retrait d’une candidature durant le processus d’élection des nouveaux membres. « Ça revient [les difficultés pour combler ce poste] cycliquement, avoue-t-il. Principalement parce que c’est un poste qui est obscur, qui interpelle moins les étudiants et pour lequel ils voient moins les implications concrètes. »
Les mises en candidature pour le poste s’achèveront le 23 mai et le congrès général extraordinaire d’élection du futur coordonnateur à la recherche se tiendra le 30 mai.