« Nous avons choisi le thème de l’innovation, car c’est au centre de la santé publique, on souhaite toujours trouver de meilleures façons de guérir et de faire de la prévention », explique l’étudiante au doctorat en santé publique et membre de l’organisation Alexandra Blair. Cette année, le format traditionnel du colloque a été repensé par l’AÉÉSPUM. « On a notamment ajouté des ateliers avec des professionnels ainsi qu’un nouveau type de présentations étudiantes qui doivent se faire en 180 secondes », commente Alexandra Blair.
Les présentations étudiantes portaient sur des sujets très variés, à l’image de l’École de santé publique de l’UdeM (ÉSPUM) qui, depuis 2013, réunit les Départements de médecine sociale et préventive, d’administration de la santé et de santé environnementale et santé au travail. « Cette diversité permet d’avoir une vision globale de la santé publique en tant que discipline multidisciplinaire », précise Alexandra Blair.
Par exemple, l’étudiant au doctorat en santé publique Alexandre Naud a présenté un projet pour expliquer les relations entre le réseau social, l’environnement urbain, la mobilité journalière et la santé chez les aînés. Puis, l’étudiante à la maîtrise en santé publique Geneviève Mccready a abordé la problématique de la censure dans la santé publique.
« Ce colloque est très important, car il implique l’échange entre les étudiants de l’UdeM ainsi qu’avec d’autres universités mais aussi le partage d’idées et d’expertises », commente l’étudiant au doctorat en santé publique et président du comité organisationnel de l’événement, Anthony Lacouture. À la fin de cette journée, un gâteau était offert pour célébrer le dixième anniversaire du colloque.