ruche

Les universités québécoises se prennent d’engouement pour l’étude des sciences apicoles. Plusieurs d’entre elles se sont dotées de ruches, à l’instar de l’Université Laval (UL) en août dernier. Ces installations procurent de multiples bienfaits à leur communauté d’appartenance.

Ça bourdonne fort cet automne à Montréal. L’apiculture, encore toute jeune dans la métropole, dresse le bilan de son premier été : les essais concluants élargissent les ambitions. L’avenir s’annonce mielleux.     Groupes responsables de ruches ou simples citoyens intéressés, ils ont tous la piqûre. À quelques jours de l’hibernation de leurs colonies, ils […]