roman

La littérature peut être un vecteur efficace dans la transmission des connaissances sur les phénomènes génocidaires, selon deux expertes. La lecture d’un récit à travers le point de vue subjectif d’un personnage aide le lecteur à mieux comprendre le passé.
Cette année, plusieurs romans aux univers dystopiques ont été adaptés au cinéma. Ces livres, pour la plupart, dépeignent une vision cauchemardesque de l’avenir. On pense ici à des œuvres telles que la trilogie des Hunger Games de Suzanne Collins, parue entre 2008 et 2010, ou la trilogie Divergence de Katherine Tegen, publiée entre 2011 et 2013. Le succès de ces
Se lancer dans l’écriture et la publication d’un premier roman peut être un chemin semé d’embûches et de doutes, à plus forte raison quand on est aux études ou quand on vient de les terminer. C’est pourtant le défi qu’ont relevé récemment Emmanuelle Poirier-St-Georges, Martin Clavet et Alice Michaud-Lapointe, auteurs respectifs d’Une histoire de taxis d’ataxie,