Les adeptes des livres de croissance personnelle seraient plus sensibles au stress et à la dépression, selon une étude parue mi-novembre dans la revue Neural Plasticity*. Plutôt que de bannir ces lectures, l’étudiante au doctorat en sciences neurologiques à l’UdeM et coauteure de l’étude, Catherine Raymond, livre quelques outils pour mieux les choisir.