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La campagne OmertàUdeM a été lancé le 10 octobre dernier par la FAÉCUM. (Photo : Archives Quartier Libre

Nouveau poste à l’étude

« On doit présentement dresser un bilan du plan de développement 2013-2018 tout en préparant le prochain plan », résume le secrétaire général de la FAÉCUM, Simon Forest. Il explique s’être basé sur un sondage mené auprès des associations étudiantes pour réfléchir à la création de ce nouveau rôle. « Une des choses qui revient souvent concerne le fonctionnement interne du BE, principalement le traitement des dossiers que les différentes associations font parvenir », élabore-t-il. L’allègement des tâches de chaque exécutant serait une manière pour la Fédération de mieux répondre à chaque demande.

Ce nouveau poste, présentement désigné comme coordonnateur aux affaires administratives et au développement, travaillerait principalement à la coordination interne au sein du BE. « Si [la mesure] est adoptée, le nouveau coordonnateur se pencherait sur les processus internes de la FAÉCUM pour les optimiser afin que le BE puisse travailler sur plus de dossiers avec autant de ressources, dévoile-t-il. Le nouvel exécutant devrait donc être responsable du développement organisationnel et des transitions au sein du BE. »

Plus concrètement, la personne à ce poste prendrait les fonctions de secrétariat actuellement remplies par la coordonnatrice aux affaires universitaires et aiderait les autres coordonnateurs dans les aspects plus techniques de leur travail. Le conseiller politique de la FAÉCUM, Pascal Lebel, donne en exemple que cette personne se renseignerait pour les autres sur les étapes à exécuter pour présenter un document aux instances.

L’ajout de ce nouveau poste aurait pour but de faciliter le travail des neuf autres membres du BE. « En ce moment, la charge de travail de chaque exécutant est considérable, admet Simon. Cela peut même décourager certaines personnes à s’y impliquer. » Outre le processus interne au quotidien, ce nouvel exécutant se verrait potentiellement confier le mandat de réviser le traitement des dossiers au sein du BE à plus long terme.

Un plan à adopter

Avant d’être officialisé, l’ajout de ce nouveau poste doit toutefois être entériné. « Le plan de développement 2018-2021 [qui prévoit ce changement au BE] doit encore être adopté, ce qui devrait se faire d’ici le 1er mai », révèle Simon. Il explique qu’une fois cette étape franchie, il y aura un travail à faire avec le conseil d’administration de la FAÉCUM pour déterminer l’incidence du poste sur le budget et la logistique de la Fédération. Un amendement aux Règlements généraux sera finalement nécessaire pour officialiser la mise en fonction de ce nouveau poste.

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