L’attachée de presse de l’UdeM, Julie Gazaille, explique que la Direction de la prévention et de la sécurité (DPS) se penche sur le sujet. Cette unité a d’ailleurs procédé à une vérification terrain le 1er décembre dernier afin de répertorier les endroits concernés et d’y trouver des solutions. « Ils sont conscients du problème, admet Mme Gazaille. La DPS a dressé une liste* d’endroits problématiques au fournisseur de télécommunication afin de remédier à la situation. » Elle confirme qu’il s’agit actuellement d’une préoccupation pour l’UdeM et que la DPS travaille avec l’entreprise Accès communication afin de régler le problème. Il n’est toutefois pas encore possible de savoir comment celle-ci procédera, ni quel est son échéancier.
Mme Gazaille rapporte que ce manque de réseaux est dû à la composition des différents bâtiments. « Tout est une question d’orientation de la tour de transmission et de la quantité de murs de béton ou d’autres matières que l’onde rencontre sur son chemin », résume-t-elle.