Selon la coordonnatrice universitaire du festival Isabelle Touchette, le cinéma ethnographique peut être classé comme une branche du documentaire. « On va chercher des histoires réelles, l’authenticité des gens, affirme-t-elle. La subjectivité prime sur l’objectivité. »
À l’UdeM, six étudiants, dont quatre en anthropologie, une en cinéma et un en philosophie travaillent sur le festival. « Ce sont les étudiants de chaque université [aujourd’hui UdeM, Concordia, McGill et Laval] qui organisent des collectes de fonds et les projections de film », explique Mme Touchette.
En plus des projections gratuites et ouvertes à tous, d’autres activités sont organisées cette année pour rejoindre un plus vaste public. « On cherche à démocratiser le festival, déclare-t-elle. On veut vraiment que les gens viennent, s’informent, participent le plus possible. »
La soirée d’ouverture se tiendra à l’Espace Art Lounge avec une prestation du groupe de musique K-iri.