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« Les violences à caractère sexuel, c’est pas banal »

« Les violences à caractère sexuel, c’est pas banal » : tel est le slogan de cette Semaine de prévention des violences à caractère sexuel (VACS). Le Bureau d’intervention en matière de harcèlement (BIMH) organise deux conférences en ligne et gratuites les 9 et 10 février ainsi qu’un jeu-questionnaire avec tirage de cartes-cadeaux de la Librairie de l’UdeM.

Mercredi 9 février de 11 h 45 à 12 h 45, une conférence est offerte à la communauté étudiante pour la sensibiliser aux effets physiologiques de la consommation excessive d’alcool et démystifier certaines idées reçues.

Jeudi 10 février de 11 h 45 à 12 h 45, les exécutifs, les responsables d’associations étudiantes et de regroupements étudiants ainsi que tous les responsables d’organisation d’événements sont invités à suivre une formation.

Le protocole d’accréditation « Commande un angelot »

Conçu par l’organisme à but non lucratif Le Collectif social, ce protocole permet aux établissements participants d’afficher un panneau d’information visible et clair dans les toilettes ainsi que sur leur porte.

Ainsi, les client·e·s qui craignent pour leur sécurité ou celle d’une autre personne peuvent alerter les membres du personnel de l’établissement en commandant un cocktail fictif : un Angelot. Ces derniers deviennent alors « responsables de venir en aide du mieux qu’ils et elles le peuvent en suivant la formation développée ».

Intitulée « Devenir un témoin actif en contexte festif : commande un angelot », la formation du 10 février vise à conscientiser les personnes aux VACS, mais aussi à introduire le programme « Commande un angelot », qui permet d’accréditer les bars et les événements festifs ou sociaux.

Le bar La Brunante, présent sur le campus de l’UdeM dans le pavillon Jean-Brillant, est en cours d’accréditation.

Une nouvelle formation en ligne obligatoire

Depuis le 4 novembre dernier, sur StudiUM, la communauté étudiante est invitée à suivre une formation obligatoire d’une vingtaine de minutes sur la banalisation des violences à caractère sexuel.

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