Le futur visage de HEC

«Nous nous sommes engagés à concevoir un bâtiment écologique et intemporel, en faisant appel à des pratiques, à des normes et à des technologies d’avant-garde », souligne la directrice du développement du campus de HEC, Loretta Cianci. Le pavillon pourra accueillir ses premiers étudiants en 2021.

L’entrée du futur pavillon situé sur la côte de Beaver Hall.
(Photo: Courtoisie HEC Montréal)

Le projet vise à intégrer harmonieusement le nouvel édifice, qui sera situé près de l’intersection de la Côte du Beaver Hall et de la rue de la Gauchetière, au sein du centre-ville de Montréal. Selon la conseillère en relation avec les médias de HEC, Marie-Pierre Hamel, le concept architectural tient compte de l’importance de la vue sur la basilique Saint-Patrick, adjacente, et vise à la préserver. Elle précise que le nouveau bâtiment valorisera le développement durable, avec la création d’espaces verts sur les trois toits de l’immeuble.

Une terrasse mènera au boulevard René-Lévesque.
(Photo: Courtoisie HEC Montréal)

L’école espère répondre à la demande croissante pour ses services en construisant un pavillon supplémentaire dans le centre-ville de Montréal. « HEC souhaite enrichir l’offre de formation en français pour les travailleurs du centre-ville », indique Mme Hamel. Depuis l’ouverture, en 1996, du pavillon sur le chemin de la Côte-Sainte-Catherine, le nombre d’étudiants inscrits a augmenté de 64 % alors que le nombre d’employés a pour sa part augmenté de 68 %*. L’établissement se prépare à tirer avantage de l’acquisition d’espaces additionnels.

Vue du futur édifice depuis l’intersection des rues de la Gauchetière et Saint-Alexandre.
(Photo: Courtoisie HEC Montréal)

Il s’agira d’un retour au centre-ville pour HEC. De sa fondation en 1907 à son déménagement en 1970, l’école était située sur la rue Viger, dans le bâtiment qui abrite aujourd’hui les Archives nationales du Québec.

* Chiffres donnés par HEC Montréal lors de la présentation du projet