Le débat autour du déclin de la langue française continue au Québec. Comme chaque année, il refait surface au gré d’une actualité, d’une enquête ou d’une déclaration politique.
Mais s’agit-il d’une réalité, d’une exagération ? Doit-on s’inquiéter du désintérêt des jeunes et du poids des institutions anglophones au Québec ? La Loi 101 n’est-elle plus que l’ombre d’elle-même ?
Il y a plusieurs questions en lien avec ce débat. À commencer par ce mot : « déclin ». Est-il alarmiste ou réaliste ?