Quartier Libre : Pourquoi as-tu choisi de te présenter comme secrétaire générale de la FAÉCUM ?
Andréanne St-Gelais : J’ai une bonne vision globale. Je viens d’un pavillon qui est délocalisé, le pavillon Parc, vu que je suis étudiante à la maitrise en physiothérapie. Ça me permet d’avoir une connaissance de ce que les étudiants vivent à l’extérieur du campus principal et en même temps, j’ai déjà travaillé à la FAÉCUM donc j’ai déjà une vision de ce qui se passe sur le campus principal.
Q.L. : Quel est le premier geste que tu comptes poser à titre de secrétaire générale ?
A. S.-G. : Probablement appeler toutes les associations étudiantes et leur demander quelles sont leurs priorités pour les années à venir.
Q.L. : Quels sont les dossiers que tu comptes prioriser au cours de la prochaine année ?
A. S.-G. : Il va y avoir trois dossiers prioritaires, dont la première année de l’Union étudiante du Québec (UEQ). Il va falloir travailler à ce que ce soit une union qui soit performante. Le dossier de la transformation institutionnelle, qui sera un grand dossier pour l’année prochaine, et le fait de souligner le 40e d’anniversaire de la FAÉCUM.
Q.L. : Comment comptes-tu, concrètement, faire avancer le dossier de l’UEQ ?
A. S.-G. : Il y a un travail de suivi à faire, de s’assurer que les gens qui sont élus à l’UEQ soient performants et de leur apporter notre collaboration et notre expertise. On a d’ailleurs une orientation là-dessus qui a été adoptée en fin de semaine et ça va être important de faire ce travail.
Q.L. : Quelle est la position de la FAÉCUM dans le dossier de la transformation institutionnelle ?
A. S.-G. : Il va y avoir des grands principes qui seront énoncés par l’Université au début de l’année prochaine probablement. L’idée sera de prendre ces principes et d’aller consulter les associations étudiantes et de déterminer s’ils correspondent à ce qu’on veut pour notre université.