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Photo de gauche: Camille Chabot-Martin - Photo de droite: Nicolas Longtin-Martel. Crédit photos: Isabelle Bergeron

Mission communication

 

Camille Chabot-Martin, étudiante au baccalauréat en droit

Quelles raisons vous poussent à vous présenter au bureau exécutif de la FAÉCUM ?

Le défi que l’implication à la FAÉCUM repré­sente et les possibilités d’apprentissage qui en découlent me motivent, mais c’est surtout l’impact positif que je peux avoir sur les étu­diants qui me pousse à présenter ma candidature. J’ai envie d’être une coordonnatrice aux affaires associatives disponible et à ­l’écoute des étudiants et étudiantes.

Comment envisagez-vous d’occuper le poste ? Quelle est votre vision de celui-ci ?

Je vois vraiment le poste comme un rôle de médiation entre les asso­ciations et le Bureau exécutif (BE) de la FAÉCUM. J’envisage d’occuper le poste en restant à l’écoute des membres, tout en ayant une place active au sein du BE en tant que représentante des associations.

Pensez-vous qu’il y a des améliorations à apporter à ce poste ?

Je pense qu’il faudrait mettre l’accent sur le contact direct avec les étudiants, pour que ceux-ci se sentent davantage concernés par les projets de la FAÉCUM. Pour ce faire, grâce aux comités déjà formés au sein des associations, il sera possible de diffuser et de prendre des actions pour des projets comme la campagne « Sans oui, c’est non ! » [NDLR : campagne de sensibilisation pour la prévention du harcèlement sexuel et des agressions sexuelles] ou bien le comité de développement durable.

Quels changements aimeriez-vous voir au sein de la FAÉCUM ??

J’aimerais que les projets de la Fédération soient implantés au sein des associations étudiantes. Ce sont des projets positifs qui peuvent se développer davantage s’il y a une participation étudiante active au sein de l’organisation.

Je considère aussi qu’il devrait y avoir une augmentation de formations pratiques pour les associations, par exemple une formation sur la gestion des médias sociaux.

Quels dossiers seront prioritaires pour vous si vous êtes élue ?

La création de plateformes de communication entre les associations pour permettre aux projets de la FAÉCUM de prendre de l’ampleur au sein même de ces associations.

Quelles sont vos expériences dans le domaine associatif ?

Au sein de l’Association des étudiants(e) s en droit de l’UdeM, j’ai présidé la délégation de l’UdeM aux Jeux de droit et j’ai organisé l’ensemble de ce projet. J’ai également fait partie du comité exécutif d’organisation des initiations et du Carnaval de droit. En plus d’être représentante de ma cohorte chaque année, j’ai été une membre active du comité Femmes et droit. J’ai découvert avec intérêt les instances de la FAÉCUM alors que j’agissais à titre de représentante de mon association au congrès annuel de la Fédération l’année dernière, ainsi qu’en accompagnant l’externe de mon association aux conseils centraux. Impliquée depuis longtemps dans la vie facultaire, autant étudiante que politique, je souhaite maintenant pouvoir m’investir pleinement à l’échelle de l’UdeM.

 

Nicolas Longtin-Martel, étudiant à la maîtrise en littérature de langues françaises

Quelles raisons vous poussent à vous présenter au bureau exécutif de la FAÉCUM ?

Plusieurs raisons, mais la plus importante reste celle de la promotion de ses services et de certains autres de l’UdeM. Que ce soit les PIE [NDLR: Projets d’initiatives étudiantes], les bourses d’implication, le kiosque de livres usagés, les photocopies à petit prix aux comptoirs de la FAÉCUM, le conseiller en règlements, ce sont des services qu’encore beaucoup trop d’étudiants ne connaissent pas.

Aider à faire connaître les services du Bureau d’intervention en matière de harcèlement ou encore du Centre de santé et de consultation psychologique sont aussi d’une importance capitale, car encore trop d’étudiants ne connaissent pas leur existence et peuvent en avoir parfois besoin. Hausser les taux de participations aux AG, commencer à archiver de manière plus efficace les réalisations de la FAÉCUM, retransmettre en direct des conférences dans les pavillons plus éloignés, offrir une formation pour créer des sites Internet pour les associations, faire la promotion d’événements, sont aussi toutes des raisons majeures qui me poussent à me présenter. […]

Comment envisagez-vous d’occuper le poste ?

J’envisage de poursuivre dans la même voie que mes prédécesseur(e)s sans grands changements radicaux bien que certains auront lieu. La coordination des affaires associatives nécessite que je sois la personne-ressource pour établir le contact entre les associations étudiantes et les membres et la FAÉCUM.

Ma plus grande partie du travail est donc non seulement de rejoindre les différentes personnes, mais de les inviter à participer aux acti­vités ou congrès le plus possible. Dans le cas où il y a des réticences, je cherche à savoir pourquoi et j’essaie de remédier à la situation sans jamais ne forcer personne à faire quoi que ce soit contre son gré.

Pensez-vous qu’il y a des améliorations à apporter à ce poste ?

Oui. […] Comme l’une des recommandations du camp d’orientation le suggère : harmoniser les moyens de communication entre les différentes plateformes est nécessaire, beaucoup de contenu se retrouve sur Facebook sans nécessairement être publié ailleurs. Il y a donc urgence à publier sur plusieurs plateformes à la fois pour rejoindre un maximum de membres.

Outre cela, deux changements importants seront apportés : la planification et la diffusion des événements devront se faire à l’avance, les étudiants et associations n’ont pas à recevoir des informations à la dernière minute et de devoir changer leur horaire pour s’ajuster à celui de la FAÉCUM. […]

Quels changements aimeriez-vous voir au sein de la FAÉCUM ?

La planification plus à l’avance des événements, encore une fois. Sinon, une plus grande utilisation des réseaux sociaux et l’archivage des réalisations.

Quels dossiers seront prioritaires pour vous si vous êtes élu ?

La diffusion des services offerts est la raison pour laquelle j’ai posé ma candidature à ce poste. Cependant, trois des quatre orientations du camp, soit la hausse du taux de participation, la consolidation des liens avec les campus délocalisés et le développement de l’offre de formation seront aussi tous importants et seront mes dossiers prioritaires pour l’année.

Quelles sont vos expériences dans le domaine associatif ?

J’ai été responsable des communications à l’association étudiante de l’Institut du tourismen et de l’hôtellerie du Québec (ITHQ) en 2009. Par la suite, j’ai été trésorier de l’AELLFUM [NDLR : Association des étudiants en littératures de langue française] deux années de suite et je suis présentement délégué· à l’information de mon association. J’ai assisté à tous les Conseils annuels de la FAÉCUM depuis trois ans et je me suis rendu, à plusieurs reprises, aux conseils centraux depuis ma première élection en tant que trésorier. Je peux affirmer avec certitude que je connais bien les procédures, autant d’une petite association que de plus grandes comme celles de l’ITHQ ou de la FAÉCUM.

 

Actuellement occupé par Étienne Racine, le poste de coordonnateur aux affaires associatives assure la coordination et la communication entre le BE et les associations étudiantes. Il est responsable des communications et des efforts de promotion de la Fédération auprès des membres par l’intermédiaire, entre autres, des médias du campus à large diffusion. Il est également, au besoin, en charge des relations avec les autres organismes étudiants et est responsable des comités participatifs de la FAÉCUM.

 

 

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