Les chercheurs ont utilisé une banque de données regroupant les informations génétiques d’environ 68 000 personnes. L’étude indique que les risques de myopie seraient dus à une plus faible exposition à la lumière naturelle. Pour les chercheurs, la solution serait donc de permettre aux enfants plus de temps à l’extérieur afin d’amenuiser ce phénomène.
Le pourcentage de personnes myopes varient grandement selon les régions du globe. En Asie de l’Est, entre 60 % et 80 % des personnes en sont atteintes alors que les pourcentages sont plus faibles en Europe (25 %) et aux États-Unis (33 %).
Plus d’informations sur cette étude sont à retrouver dans Le Journal de Montréal.
