« Une modification relative au traitement des questions disciplinaires est à prévoir, puisque certains aspects touchant à la discipline devaient faire l’objet de démarches particulières relevant des relations de travail », affirme l’attachée de presse de l’UdeM, Julie Gazaille. Elle ajoute que cette question sera rediscutée à l’Assemblée universitaire et au Conseil.
Des statuts inclusifs
Selon Mme Gazaille, les nouveaux statuts accordent maintenant une place à d’autres groupes — les chargés de cours, notamment — qui étaient nettement moins présents en 1967, au moment de l’adoption de la charte précédente, leur donnant un rôle actif dans l’élaboration de ses activités.
« En ce qui concerne les étudiants, quatre membres pourront dorénavant les représenter à la Commission des études », précise-t-elle. Deux étudiants pourront également siéger sur le comité de nomination du recteur, contre un prévu auparavant. Pour la nomination des doyens, un étudiant pourra siéger au comité, ce qui n’était pas le cas avant.
Gouvernance partagée
Selon Mme Gazaille, dans le but de garantir la meilleure représentativité de la communauté universitaire, des diplômés, des chargés de cours, des étudiants et des membres du personnel de soutien entrent dans la composition des principales instances de l’Université. « Le but est de mieux refléter la diversité de notre communauté », conclut-elle.
Le prochain Conseil de l’Université aura lieu le 25 mars 2019.