Nommé S’entraider pour réussir, le groupe aborde, au moyen d’ateliers, des thèmes tels que le sport, la nutrition ou l’orientation scolaire. « Nous avons discuté de la divulgation d’un handicap non visible, des barrières dans une situation de travail et d’activités physiques », résume le coresponsable du SESH Nissim Louis. Ces ateliers sont une manière pour les étudiants d’élargir leurs horizons. « C’est l’idée de faire d’autres choses que les études et de voir comment le fait de seulement participer à une activité organisée peut amener des effets positifs », soutient-il.
Les activités du SESH connaissent un certain succès auprès des étudiants handicapés, selon M. Louis, alors qu’une dizaine d’étudiants sont présents à chaque séance. « On voit selon leur “feedback” qu’ils apprécient beaucoup nos activités », affirme-t-il.
Depuis sa création en 2015, le SESH travaille souvent en collaboration avec le Centre étudiant de soutien à la réussite (CÉSAR) et le Centre de santé et de consultation psychologique (CSCP). Selon M. Louis, d’autres partenariats sont à prévoir, notamment avec le Service des activités culturelles (SAÉ) de l’UdeM. Lors de son dernier rapport, en 2015-2016, le SAÉ a rapporté que 1 319 étudiants étaient en situation de handicap à l’UdeM.
