Congrès FAÉCUM

icone Campus
Par Vincent Allaire
mardi 5 avril 2011
Congrès FAÉCUM

Nouvelle ligne d’autobus à venir

Les étudiants du nord de la Ville auront une nouvelle option pour se rendre à l’UdeM. Une nouvelle ligne d’autobus de la Société de transport de Montréal (STM) fera son apparition l’année prochaine. C’est ce que le secrétaire général sortant de la FAECUM, Marc-André Ross, a annoncé lors de son discours de départ. La nouvelle ligne d’autobus reliera l’UdeM aux quartiers Rosemont et Ahuntsic. Selon le secrétaire général sortant, les discussions vont bon train avec la STM et une annonce devrait suivre au courant de l’année qui vient.

Déneigement de la piste cyclable

Les cyclistes d’hiver auront certainement de quoi se réjouir l’année prochaine. La FAECUM négocie en ce moment avec l’arrondissement Outremont afin que la piste cyclable du chemin de la Côte-Sainte-Catherine soit déblayée l’hiver prochain lors des tempêtes neiges. En 2005, une étude de Vélo Québec révélait que seulement 2% des cyclistes québécois faisait du vélo l’hiver. Une piste cyclable déneigée convertira peut-être de nouveaux cyclistes.

Mal de tête continu

Quoi de pire que de souffrir d’un mal de tête juste avant un cours de trois heures… Les étudiants ont demandé l’année dernière que les comptoirs de la FAECUM vendent des cachets d’ibuprofène. Les étudiants devront en revanche prendre leur mal (de tête) en patience parce que les caisses enregistreuses ne permettent pas d’introduire de nouveaux produits à vendre. Selon Véronique Levert-Boyer, coordonnatrice sortante aux affaires et services, changer les caisses enregistreuses coûterait trop cher.

(Source : Tiffany Hamelin)

L’écoute passive et le tricot

Un congrès de la FAECUM, c’est long. Entamée à 13h30 un vendredi, la dernière séance a été levée à 2h15 dans la nuit de dimanche à lundi. C’est près de 36 heures de travail réparties sur deux journées et demie. Les délégués trouvent donc des tactiques originales pour rester attentifs. Dédaignant Facebook, un étudiant au doctorat, membre de la délégation d’informatique et de recherches opérationnelles, a décidé de tricoter une tuque.

Questionné par Quartier Libre, l’étudiant s’est amicalement expliqué en trois points : selon lui, le tricot favorise l’écoute active, peut être interrompu et repris à tout moment, et lui fournira une tuque l’hiver prochain. Le congrès n’a malheureusement pas duré assez longtemps pour voir le projet complété. Déception.