« L’idée m’est venue d’un séminaire [à la maîtrise en histoire] que j’ai suivi, explique l’étudiante à la maîtrise en histoire et déléguée aux affaires scientifiques de l’AEDDHUM, Florence Prévost-Grégoire. Une des séances était consacrée à la globalisation et au changement d’échelle qu’elle engendre ?» Selon elle, le choix de thème permettra aux 24 conférenciers d’avoir une certaine liberté.
Répartis en sept panels, ils présenteront leurs sujets de recherche au cours de ces trois jours. « Nous nous attendons à une participation de trente à quarante personnes », indique Florence. Selon elle, ce chiffre correspond approximativement au nombre de personnes qui se sont présentées à l’édition antérieure.
« Environ la moitié des 24 conférenciers sont des étudiants aux cycles supérieurs en histoire à l’UdeM et l’autre provient de l’extérieur », précise l’étudiante. Des étudiants en histoire d’autres universités québécoises, dont l’UQAM et l’Université Concordia, ainsi que des étudiants en histoire d’universités françaises et américaines seront présents.
Un montant de 1800 $, sur un total d’environ 5000 $ pour financer l’évènement a été fourni par l’AEDDHUM. « Nous avons eu plusieurs sources de financement pour ce colloque : le Fonds d’investissement des cycles supérieurs de l’UdeM (FICSUM), la FAÉCUM, le département d’histoire, trois chaires de recherche en histoire, le Fonds d’amélioration de la vie étudiante (FAVE) et l’AEDDHUM », révèle Florence. Le premier jour du colloque se conclura par une conférence présidée par le professeur adjoint au Département d’histoire, David Meren et une présentation du professeur adjoint à l’Université McGill, Allan Downey. L’évènement est gratuit et ouvert à tous.
