Culture

Critique: premier EP de Blanche et Noir

 

 

Le mini-album débute avec la pièce « J’m’endors » que l’on pouvait déjà écouter depuis le 13 avril. La voix rauque du chanteur rend les paroles difficiles à comprendre, mais la musique est entraînante, contrairement à ce que laisse croire le titre.

Dès le deuxième morceau, « Vagabond », la voix du chanteur est un peu moins éraillée, mais il faut tout de même être très attentif pour comprendre les textes. La guitare, le clavier et les percussions produisent des sonorités intéressantes, et la pièce a beaucoup de groove. Il est néanmoins difficile de capter les spécificités musicales lorsque le chanteur chante, car sa voix enterre la musique.

 « L’aube pleure à peine » est, quant à elle, davantage rythmée et a un côté plus rock alternatif que les deux premières pièces.

La dernière pièce, « Le buzz », propose un rythme plus calme et quelques mélodies chantées. La voix de Jean Leclerc se fait plus douce. Mais la pièce en tant que telle est plus répétitive que les autres et s’étire en longueur avec une trentaine de secondes de bruits de guitare saturés en guise de finale.

Cet album n’a pas touché ma corde sensible, mais peut-être saura-t-il plaire aux amateurs de rock alternatif et de distorsions.

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