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Le Laboratoire de cyberjustice compte une équipe permanente à l’UdeM et à l’Université McGill, mais son équipe internationale rassemble 20 universités et centres de recherche, 36 chercheurs et neuf partenaires.

Cyberpartenaires

« Nous travaillions déjà avec le Ministère depuis la création, affirme le directeur adjoint du laboratoire, Nicolas Vermeys. Or cela n’avait jamais été officialisé. »

Créé en 2010, le laboratoire est un espace de réflexion nouveau genre qui se penche sur des questions d’analyse de l’incidence des technologies sur la justice. Il développe également des outils technologiques concrets et adaptés à la réalité des systèmes judiciaires.

Selon M. Vermeys, ces nouveaux fonds issus du Ministère visent dans un premier temps à produire une veille informationnelle semestrielle sur les enjeux contemporains liés à la cyberjustice. « Cette entente vise avant tout à faciliter l’accès et la libre circulation des travaux entre les deux partis concernés », indique-t-il.

Dans un second temps, l’accord permettra d’entreprendre une série de projets de développement de logiciels qui vise à faciliter l’accès à la justice au Québec et à désengorger les tribunaux.

Une dizaine d’étudiants-chercheurs de l’UdeM sont employés au laboratoire, situé au local B-2215 du 3200, Jean-Brillant.

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