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(Crédit Photo: Coraline Mathon)

4 questions à Étienne Racine

Le mandat d’un poste au Bureau exécutif (BE) de la Fédération des associations étudiantes du campus de l’UdeM (FAÉCUM) dure un an. C’est lors du Congrès annuel de la Fédération que les nouveaux officiers sont élus par les associations étudiantes présentes. Quartier Libre questionne les onze candidats avant les élections du 23 mars.

Étienne Racine – Candidat au poste de coordonnateur aux affaires associatives

Quartier Libre : Pourquoi vouloir faire partie du BE de la FAÉCUM?

Étienne Racine : J’étais administrateur cette année, donc j’ai l’impression que c’est un peu une continuité. Une des raisons pour laquelle j’ai décidé, de plus m’investir cette année c’est qu’il y a beaucoup de choses que j’aimerai changer pour le poste auquel je me présente. J’ai vu les personnes qui se présentaient et c’est du monde avec qui j’ai des facilités à travailler.

Q.L. : Quelle est ton expérience dans le milieu associatif?

É.R. : J’ai commencé à m’impliquer à ma première année de baccalauréat un peu avant que la grève commence comme externe junior dans mon association de communication et politique. Ensuite j’ai continué mon mandat pendant la grève comme externe et vice-président. Puis cette année j’étais président de mon association et administrateur de la FAÉCUM.

Q.L. : Quelle est ta vision du poste de coordonnateur aux affaires associatives?

É.R. : La perception du poste d’interne à peu d’intérêt dans l’esprit des étudiants. L’image des gens c’est juste un officier qui va aux partys, qui fait suivre les courriels et qui répond aux questions. D’après moi c’est en grande partie le travail qui est demandé, mais c’est aussi aider les associations à se faire connaître à l’intérieur de la FAÉCUM puis surtout j’aimerai développer la relation entre la fédération et les membres. Notre premier travail c’est d’être redevable envers les associations membres, mais afin de les desservir comme il faut, je pense que c’est important de se faire connaître et de faire connaître le travail que l’on fait pour eux et de montrer qu’on est présent pour eux sur le campus de diverses manières à travers les services ou les campagnes sociales autour de nos valeurs.

Q.L. : Selon toi, quel est le plus gros enjeu pour la FAÉCUM l’an prochain?

É.R. : Le plus gros enjeu c’est vraiment de reconnecter avec les étudiants et de s’assurer que l’image que nous avons de nous-mêmes se reflète aussi chez les étudiants et à l’extérieure. On a un peu l’impression que la FAÉCUM n’est pas tant forte avec ses étudiants et je pense que c’est quelque chose que l’on devrait changer. Sinon voir avec les élections provinciales et les dossiers qui avancent pour l’enseignement supérieur. 

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