Geneviève O’Meara reconnaît que ce genre d’erreur peut être un facteur de stress important pour les étudiant·e·s qui voient leurs inscriptions révoquées sans explications. L’UdeM mise notamment sur l’automatisation de certains processus pour éviter que de telles mésaventures se reproduisent.
« Présentement, notre bureau du registraire travaille avec les techniciens en systèmes d’information pour développer un système qui viendrait automatiser le traitement de certaines demandes pour réduire les erreurs humaines », explique la porte-parole de l’Université au Devoir.
L’UdeM assure généralement un suivi auprès des étudiant·e·s dans le but de garantir que les documents nécessaires à l’inscription soient fournis avant la date butoir.
Depuis le début de la session d’hiver, 498 étudiant·e·s internationaux·ales ont dû être désincrit·e·s en raison de dossiers incomplets. Toujours au Devoir, Mme O’Meara affirme que 183 d’entre eux ont accompli les démarches requises afin de permettre leur réinscription.
