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Le premier évènement des JFL aura lieu le 3 novembre prochain. (Crédit photo : facebook.com I AECS HEC Montréal)

Une programmation améliorée

« Ce changement permet d’aborder des sujets plus variés ayant pour objectif d’arriver à la fin du programme avec un bagage plus complet, davantage de ressources pour que les participantes puissent se découvrir elles-mêmes et exploiter à leur guise leurs propres compétences », souligne Matis. L’offre se veut bonifiée en offrant des ateliers de formation, des activités, des rencontres et des conférences tout au long de l’année. « Cela permet notamment de développer les échanges entre les participantes », ajoute le secrétaire général. Les évènements restent cette année encore non mixtes et sont ouverts aux étudiantes s’assimilant au genre féminin.

« Cette année, les participantes auront le choix entre deux formations correspondant plus spécifiquement à leur profil », spécifie Matis. La première concerne les aptitudes politiques, la gouvernance et la communication. Elle permet aux étudiantes de se familiariser avec les différents lieux de pouvoir et de développer des compétences pour mieux les investir par la suite au sein de l’université, au travers des institutions ou des associations, précise-t-il. La seconde, quant à elle, traite de leadership, de la collaboration et de la mobilisation. Les participantes y apprendront à trouver leur propre type de leadership mais aussi à mettre en œuvre des projets.

« À raison d’un évènement par mois, la formation se veut plus approfondie et assurera un suivi tout au long de l’année, ajoute le secrétaire général. Les horaires et les dates des ateliers permettent d’être parfaitement conjugables avec une vie étudiante. » Ce changement de format est notamment le fruit du travail des quatre femmes membres du comité exécutif de la FAÉCUM à la suite des recommandations d’anciennes participantes, rapporte Matis.

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