« L’idée nous est venue du besoin exprimé par les pays francophones, et souvent reprise par l’Organisation internationale de la Francophonie, de constituer une banque de données économiques sûres sur lesquelles fonder les initiatives et les décisions à caractère économique des secteurs public et privé », a indiqué le recteur de l’UdeM, Guy Breton, par voie de communiqué. Le nouvel Observatoire, qui sera mené par le professeur émérite du Département de sciences économiques de l’UdeM, Marcel Boyer, a pour but de consolider l’engagement du Québec envers l’essor économique de la Francophonie.
En suivant le sillon tracé par la Conférence des chefs d’État et de gouvernements des pays ayant le français en partage en novembre 2014 à Dakar, l’Observatoire vise à renforcer les liens économiques entre les différents membres de la Francophonie. Les chercheurs associés souhaitent également influencer les prises de décisions en lien avec les politiques économiques gouvernementales.
Un premier rapport de l’Observatoire de la Francophonie économique sera déposé dans le cadre du prochain Sommet de la Francophonie, qui aura lieu en 2018.
