4 questions à Nicolas Lavallée

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Par Anne-Marie Provost
samedi 15 mars 2014
4 questions à Nicolas Lavallée
(Crédit Photo: Coraline Mathon)
(Crédit Photo: Coraline Mathon)

Le mandat d’un poste au Bureau exécutif (BE) de la Fédération des associations étudiantes du campus de l’UdeM (FAÉCUM) dure un an. C’est lors du Congrès annuel de la fédération étudiante que les nouveaux officiers sont élus par les associations étudiantes présentes. Quartier Libre questionne les onze candidats avant les élections du 23 mars.

Nicolas Lavallée – Candidat au poste de coordonnateur aux affaires externes

Quartier Libre : Pourquoi vouloir faire partie du BE de la FAÉCUM?

Nicolas Lavallée: Je m’implique depuis longtemps et j’aime beaucoup faire de la représentation étudiante. Dans les deux dernières années, j’ai réalisé en m’impliquant en science politique que j’aimais défendre les positions des étudiants du programme et les faire passer auprès de différents acteurs. J’aimerais faire de la représentation un peu plus loin et pour moi le poste d’externe sur le BE est la façon de le faire.

Q.L. : Quelle est ton expérience dans le milieu associatif?

N.L. : J’ai été externe et président de l’association étudiante en science politique à l’UdeM. Je m’étais aussi un peu impliqué au Cégep dans le journal étudiant et sur le conseil étudiant au secondaire, au collège Jean-Eudes.

Q.L. : Quelle est ta vision du poste de coordonnateur aux affaires externes?

N.L. : Sans être un porte-parole comme le secrétaire général, un externe est la voix de la FAÉCUM à la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) ou auprès des autres interlocuteurs au niveau municipal, provincial et fédéral. Il y a aussi plusieurs autres interlocuteurs sur le terrain qui mènent les mêmes luttes que nous. C’est un poste très politique.

Q.L. : Selon toi, quel est le plus gros enjeu pour la FAÉCUM l’an prochain?

N.L. : J’en vois plusieurs. Mais je pense que les chantiers qui se sont fait les dernières années sur l’aide financière aux études et la gouvernance des universités sont des sujets chauds et importants. Il y a avoir des projets de loi et des commissions parlementaires suite à ces chantiers et il faut que la FAÉCUM soit présente. Il y a aussi le droit de grève étudiant qui passe un peu sous le radar mais qui reste présent. On ne semble pas vouloir maintenir un statu quo sur cette question et il va falloir que les étudiants restent vigilants et soient bien documentés.