Vox Pop : Confiance en soi et études

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Par Fanny Bourel
mercredi 28 novembre 2012
Vox Pop : Confiance en soi et études
Yasmine Benabed (Crédit : Thomas Ethier)
Yasmine Benabed (Crédit : Thomas Ethier)

Certains étudiants ont tendance à surestimer leurs capacités en matière d’études universitaires. Les étudiants de 1er cycle de l’UdeM pensent-ils pouvoir aller jusqu’au bout de leurs études ?

Émy Bourdages (Crédit : Thomas Ethier)

Émy Bourdages, Démographie et géographie

J’étais très inquiète en commençant le baccalauréat cet automne, je me demandais si ça allait être plus dur que le cégep. Finalement, certains cours sont vraiment plus faciles, le niveau de recherche n’est pas trop élevé pour l’instant. Je suis assez confiante pour la suite. Certains troubles de l’apprentissage me limitent, mais j’ai les outils qui me permettent
d’avancer.

 

Tahia Wan (Crédit : Thomas Ethier)

Tahia Wan, Coopération internationale

Je suis étudiante étrangère et les stages sont offerts en priorité aux Canadiens résidents permanents, alors je suis un peu inquiète. Le stage est obligatoire, tout dépend donc de mon statut. Par contre, je continue à avancer dans ce
programme. Je suis dans une bonne université et je reste confiante.

 

François-Julien Côté-Remy (Crédit : Thomas Ethier)

François-Julien Côté-Remy, Philosophie

Je n’ai aucun doute quant au fait de bien terminer mes études. Mes notes sont bonnes et en constante augmentation. Je ne vois pas pourquoi je n’atteindrais pas mon objectif. Mes notes étaient assez ordinaires lors de ma première session en 2010. Je ne réalisais pas encore la différence entre le cégep et l’université. J’ai toujours eu confiance en moi, mais aujourd’hui, je suis encore plus conscient de la tâche à accomplir.

 

Yasmine Benabed (Crédit : Thomas Ethier)

Yasmine Benabed, Chimie

J’aime la chimie donc je suis sûre de finir mon baccalauréat. Je suis aussi beaucoup plus confiante aujourd’hui qu’avant. J’ai eu une première session assez catastrophique. J’étais avant dans un lycée en France et ce n’est pas du tout le même système et les mêmes méthodes de travail. Mais depuis le printemps dernier, j’ai fini par prendre le rythme. Je me suis inspirée des Québécois !