Par
Félix Lacerte-Gauthier
Le guide est également une invitation lancée à la communauté de l’UdeM à découvrir le campus d’un autre œil. « Nous trouvons qu’un parcours sur le terrain est une façon ludique et agréable de sensibiliser notre monde », rappelle M. Béranger. Selon lui, d’autres arbres pourraient être ajoutés au parcours. Un deuxième
circuit serait envisagé.
Le guide est également une invitation lancée à la communauté de l’UdeM à découvrir le campus d’un autre œil. « Nous trouvons qu’un parcours sur le terrain est une façon ludique et agréable de sensibiliser notre monde », rappelle M. Béranger. Selon lui, d’autres arbres pourraient être ajoutés au parcours. Un deuxième
circuit serait envisagé.
L’Unité du développement durable (UDD) de l’UdeM a récemment mis sur pied son arboretum, un document téléchargeable et adapté pour téléphone intelligent et tablette.
L’arboretum propose 13 stations localisées tout au long d’un parcours d’environ une heure. Les visiteurs passeront par trois forêts plantées et plusieurs arbres jugés « remarquables ». C’est à partir d’une réflexion sur l’espèce, le site et le déploiement de l’arbre qu’est établie la définition de « remarquable ».
« Cela ne veut pas dire que les arbres non retenus n’ont pas d’intérêt », s’exclame le coordonnateur au développement durable Stéphane Béranger. L’objectif de l’arboretum est de sensibiliser la communauté sur l’importance de l’écosystème. « On ne protège pas ce que l’on ne connaît pas », résume-t-il.
En parcourant le guide, le visiteur découvre des éléments de la biologie des différents arbres. Des illustrations lui permettent également de se familiariser avec l’écorce, la feuille et le fruit des spécimens. « On souhaite, d’une part, éveiller une sensibilité pour nos trésors cachés en biodiversité et, d’autre part, amener les usagers à marcher sur le campus », explique M. Béranger.
Le guide est également une invitation lancée à la communauté de l’UdeM à découvrir le campus d’un autre œil. « Nous trouvons qu’un parcours sur le terrain est une façon ludique et agréable de sensibiliser notre monde », rappelle le coordonnateur au développement durable. Selon lui, d’autres arbres pourraient être ajoutés au parcours. Un deuxième circuit serait envisagé.
Photos par Jèsybèle Cyr
Arbre dit « remarquable» Caryer
Arbre dit » remarquable » Chicot
Arbre dit » remarquable » Saule
Arbre dit » remarquable » Chêne
Arbre dit » remarquable » Érable
La forêt nourricière, un regroupement d’arbustes à l’orée du boisé, compte
toutes sortes de plantes indigènes au mont Royal.
Au cours de l’été 2016, 298 frênes sont morts ou ont dû être abattus en raison
de la présence de l’agrile du frêne. Plus de 200 autres, infectés, ont été traités
à l’insecticide biologique TreeAzin au cours de la même période.
« Il y a très peu de noyers cendrés sur le mont Royal, révèle M. Béranger. Les
arbres sont attaqués par un champignon, le chancre du noyer, qui les tue à petit
feu. Le “nôtre” semble bien résister. »
Quatre ruches sont installées sur le campus de l’UdeM. Elles permettent à
l’Unité du développement durable (UDD) de récolter son propre miel.
L’UDD a tenté de diminuer l’empreinte humaine dans le boisé en redessinant
le réseau de sentiers. Certains ont été condamnés et d’autres réaménagés.