Le RAP prend forme

« On a bon espoir que nos discussions amèneront des changements concrets et pourront dynamiser le milieu militant à l’UdeM », précise l’étudiante à la maîtrise en sociologie et porte-parole du RAP, Amélie Robert. Les différentes associations membres du RAP soutiennent les principes de base de démocratie directe, de féminisme intersectionnel et de protection de l’environnement tout comme elles soutiennent une éducation accessible et libre des impératifs du marché. « Le RAP souhaite également participer à une véritable solidarité avec les autres syndicats de l’Université et faire entendre sa voix au sein des instances universitaires », ajoute Amélie.

L’ordre du jour du congrès, en préparation depuis décembre 2015, a surtout porté sur les nouvelles structures dont le regroupement compte se doter. Un comité temporaire sera mis sur pied au cours des prochaines semaines pour organiser la première assemblée générale du RAP à l’automne 2016.

D’ici là, des votes d’adhésion se tiendront dans les assemblées générales des différentes associations étudiantes présentes. S’il a été convenu que chaque association sera responsable de la perception des cotisations auprès de ses membres, le montant de celles-ci n’a pas encore été précisé.

Une quinzaine d’étudiants représentant dix associations étudiantes de l’UdeM étaient présentes, dont l’Association étudiante en anthropologie (AÉAUM), l’Association étudiante des cycles supérieurs d’anthropologie (AECSAUM), l’Association des étudiantes et étudiants en philosophie (ADÉPUM), l’Association des étudiants en géographie (AEGUM), l’Association étudiante de littérature comparée (AELCUM), l’Association des étudiants en littérature et langues modernes (AELLMUM), l’Association des étudiants et des étudiantes en histoire de l’art (AEEHAUM), l’Association des étudiants en neurosciences de (ADÉNUM).