Un festival numérique

La diffusion numérique est jugée par l’équipe du festival comme un moyen efficace pour faire connaître les courts métrages à un large public. « L’objectif est de rendre disponible le court métrage partout au Québec et dans le monde entier, expliquent les organisateurs dans un communiqué. Le but étant de se servir de l’immense popularité de Facebook pour offrir au court métrage une vitrine exceptionnelle. »  Selon eux, l’événement a pu être vu par six millions de personnes en quatre ans.

En tout, 43 films diffusés en ligne composent la programmation du festival, qui mise sur la diversité des productions présentées. « Notre programmation, cette année, couvre un large territoire tant par la provenance de nos cinéastes que par les lieux de tournage de leur film respectif », précisent les organisateurs. La région de Matane, la ville de Québec, la Louisiane et le Liban servent ainsi de décor à quelques-unes des œuvres présentées. Tourné en Tunisie, le film québécois Brotherhood, en lice pour l’Oscar du meilleur court métrage, fait partie de la sélection.

Plein(s) Écran(s) laisse également place à la diffusion de courts documentaires. Le festival accueille cette année le volet carte blanche des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM). Sept films, dans cette catégorie, ont constitué la programmation du 18 et du 19 janvier. 

Pour accéder à la programmation Plein(s) Écran(s), il suffit de se rendre sur la page Facebook du festival.

L’événement a débuté le 15 janvier et prendra fin le 25 janvier.